Prendre en compte la surface réelle à traiter

En vignoble fortement morcelé, le différentiel entre la surface cadastrale et la surface à traiter peut atteindre 15 %. Photo : PIXEL6TM

Surface cadastrale et surface plantée ne sont pas toujours identiques. Calculer précisément la surface à traiter permet d’ajuster les quantités de produits appliquées, de réduire son IFT et de faire des économies.

Vos parcelles, vous les arpentez tous les jours, mais les connaissez-vous vraiment ? La surface cadastrale, la surface cultivable, la surface plantée, la surface pulvérisable avec la prise en compte des ZNT peuvent parfois présenter des différences importantes selon la configuration du parcellaire, la proximité de cours d’eau, la pente… Or, connaître précisément la surface à traiter est un des premiers leviers pour ajuster les quantités de produits appliquées, réduire son IFT et, bien sûr, réaliser des économies.
En Champagne, vignoble fortement morcelé, les travaux menés dès les années 2000 ont permis de mettre en évidence les gains potentiels autour de 15 %, en fonction des parcelles. Ce pourcentage varie en fonction de la taille et de la forme des parcelles, de leur situation (bordure de chemin communal par exemple), de la présence de tournières ou de pointes, etc. Ce différentiel dépend également de la largeur du matériel utilis�

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés