La chambre d’agriculture de la Drôme a testé, pendant quatre ans, l’impact de différents types d’apports organiques en viticulture biologique sur la vigne et les baies. Compost de vert broyé de lavandin, compost de déchets verts, fumier de bovins composté et un produit du commerce (compost de fumier de brebis) ont été comparés sur le rendement et la qualité des baies.
La chambre d’agriculture de la Drôme a testé, de 2010 à 2013, l’impact de différents types d’apports organiques en viticulture biologique.
Dans ces essais, quatre types d’apport organique ont été comparés à un témoin sans apport : compost de vert broyé de lavandin, fumier de bovins composté, un produit du commerce (compost de fumier de brebis), et un apport de compost de déchets verts.
Une sixième modalité concernait la destruction de l’enherbement. Les objectifs visés pour les apports étaient de maximum 1 t/ha de matière organique (MO), de 25 unités d’azote rapidement utilisables, ainsi que de 70 unités de K2O et de 25 unités de MgO.
Quatre ans après le début de l’expérimentation, l’évaluation menée en 2013 montre un impact sur la croissance de la vigne
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