Neuf équipes de recherche françaises vont lancer des travaux contre le dépérissement de la vigne : leurs projets ont été retenus dans le cadre du Plan national dépérissement pour leurs approches innovantes.
Trouver de nouvelles idées, de nouveaux moyens de recherche contre le dépérissement du vignoble, puisque les anciennes n’ont pas donné de résultat probant : c’était une des ambitions des responsables du Plan national dépérissement. Ils viennent justement de placer leurs espoirs dans neuf projets de recherche qui répondent à ces critères. Que ce soit la flavescence dorée, le court noué, les maladies du bois ou les stress environnementaux (sécheresse, par exemple), ces projets sont centrés sur la plupart des facteurs ayant été identifiés comme portant une responsabilité dans le dépérissement du vignoble, le tout dans une approche pluridisciplinaire.
Analyser les cernes de la vigne
C’est le cas de Co-Act, le projet qui se propose de rechercher de nouvelles solutions de lutte contre la flavescence dorée en comprenant mieux, puis en exploitant les différences de sensibilité entre les cépages, tout en étudiant les possibilités de prise en
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