
Pour sauvegarder le potentiel de production d’une vigne touchée par les maladies du bois, plusieurs techniques peuvent être mises en œuvre. Pour choisir entre le regreffage, le recépage ou le curetage avant de passer à la complantation ou l’arrachage, il convient de comprendre l’intérêt de chaque technique et ses limites.
En présence de maladies du bois sur une parcelle, hormis l’application des quelques spécialités autorisées, comme le dit l’expression… il n’y a pas 36 solutions ! Mais quelques-unes quand même : arracher/replanter, complanter, ou employer des techniques comme le regreffage, le recépage ou le curetage.
François Dal, conseiller vigne de la Sicavac, nous expose ces trois techniques : « Le recépage est à la première technique à appliquer. Si cela ne fonctionne pas, on peut passer au curetage. Dans certains cas, comme sur de la syrah conduite en cordon, combinant à la fois cépage exprimant tard les symptômes de maladie et taille cordon difficile à cureter, on sait que le curetage ne sera pas suffisant. Dans ce cas, il est souvent préférable d’opter directement pour un regreffage. »
La première technique à mettre
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