
Comment s’y prendre pour favoriser la biodiversité ? Afin de concrétiser leur bonne volonté, des groupes de vignerons en Languedoc-Roussillon ont engagé un travail avec le Conservatoire d'espaces naturels. Un auto-diagnostic « Biodiv&eau » a été mis au point et réalisé par une soixantaine de vignerons. Une démarche qui pourrait être reproductible, après adaptation, dans d’autres régions.
Planter des haies, remonter des murs en pierres sèches, laisser des arbres isolés… les aménagements permettant de favoriser la biodiversité commencent à être connus. Mais où précisément vaut-il mieux implanter une haie ? De quelles espèces doit-elle être composée pour être la plus « efficace » possible ? Cette information n’est pas toujours facilement accessible, et de surcroît, elle est très locale. Pour les aider à concrétiser leur volonté d’agir en faveur de la biodiversité, les vignerons de l’IGP côtes-de-thongue, puis de l’ensemble des IGP de l’Hérault, ont travaillé de concert avec le Conservatoire d'espaces naturels du Languedoc-Roussillon.
Un auto-diagnostic, baptisé « Biodiv&eau » a ainsi été mis en œuvre depuis
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