Un témoin non traité pour réduire les phyto

Article réservé aux abonnés

Jean-Bernard Mussotte : « Je bâche les sept pieds avant de traiter et retire la bâche à la fin de chaque traitement. Les deux témoins non traités sont placés stratégiquement sur les parcelles les plus sensibles, je les observe dix minutes par jour : je gagne en réactivité et je traite s’il y a une véritable pression. » Photo : JB Mussotte
Des charges phytosanitaires divisées par quatre : c’est le pari fou qu’a réussi Jean-Bernard Mussotte. Grâce à une combinaison d’outils d’aide à la décision, il a drastiquement réduit les doses et utilise des produits de contact contre l’oïdium et le mildiou quand les conditions le permettent.«Diminuer les charges était mon objectif premier quand j’ai commencé à réduire les doses des produits contre l’oïdium et le mildiou. Je ne voulais plus dépendre des prescriptions des fournisseurs de produits phytosanitaires », introduit Jean-Bernard Mussotte. Ce viticulteur girondin basé à Mazères a réduit son IFT hors herbicides de 21 à 5,8 en trois ans, ses charges d’intrants phytosanitaires ont chuté de 950 à 213 €/ha ! Dans cette démarche de réduction, il s’est appuyé sur plusieurs outils et notamment des témoins non traités. Il a aussi été conseillé par Jean-Baptiste Meyrignac, conseiller viticole à l’Adar1 des deux rives Cadillac Créon.Depuis 2010, « nous avons travaillé sur deux axes : la technique liée à l’état sanitaire de la vigne et la réduction des doses »,…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Viticulture

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15