
En viticulture biologique, la fertilisation ne peut pas se raisonner sur les mêmes outils qu’en conventionnel. Sur quelles analyses se baser ? Quels éléments prendre en compte ? Comment optimiser les apports et la valorisation par la vigne ? Autant de questions auxquelles nous tentons de répondre.
La gestion de la fertilisation commence avec une approche globale de son vignoble qui permettra de limiter les pertes et d’optimiser les éventuels apports en fonction des parcelles et des reliquats existants.
Notons que la concurrence pour les éléments minéraux est fonction du couvert et du système racinaire de la vigne, les jeunes vignes seront les plus touchées par les phénomènes de concurrence. Dans ces parcelles, il est intéressant de travailler le sol les trois premières années afin de faire « descendre le système racinaire », ensuite des couverts trouveront leur place sans risque. Les engrais verts pourront être implantés dès la seconde année.
D’autres éléments sont à prendre en compte pour optimiser la fertilisation.
Souvent considérée comme une culture annuelle
Si la vigne est une plante pérenne, on constate souvent qu’elle est considérée comme une
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