
En 2021, Duralim a créé, avec l’appui du Céréopa, un Observatoire du risque de déforestation importée quantifiant la part de soja potentiellement à risque de déforestation et de conversion dans l’alimentation des six filières animales : vaches laitières, bovins viande, porcs, poulets de chair, dindes et poules pondeuses. La deuxième version de l’observatoire livre quelques chiffres.
► 87 % des volumes de soja consommés par la ferme France en 2020-2021 : c’est ce que représentent les six filières animales étudiées.
► Le soja représente en moyenne 3,3 % de l’alimentation des six filières, toutes origines confondues.
► 73 % du soja consommé par les principales filières animales françaises en 2020-2021 est considéré comme à faible risque de déforestation et conversion.
► 0,4 % du soja est potentiellement à risque de déforestation et conversion.
Pour le reste, l’observatoire manque de données afin de définir le risque de déforestation, ou non. « Les fournisseurs doivent mettre en place des dispositifs dans les pays producteurs pour apporter les garanties de non-déforestation manquantes à ce jour », estime l’observatoire.
► 0,83 %, c’est la part des surfaces de soja récoltées au Brésil et en Argentine, sur la campagne 2020-2021, dont la production est consommée par l’ensemble du cheptel français (hors petfood), et qui est potentiellement à risque de déforestation. Cela représente 240 000 ha.
Source : communiqué Duralim
► 87 % des volumes de soja consommés par la ferme France en 2020-2021 : c’est ce que représentent les six filières animales étudiées.
► Le soja représente en moyenne 3,3 % de l’alimentation des six filières, toutes origines confondues.
► 73 % du soja consommé par les principales filières animales françaises en 2020-2021 est considéré comme à faible risque de déforestation et conversion.
► 0,4 % du soja est potentiellement à risque de déforestation et conversion.
Pour le reste, l’observatoire manque de données afin de définir le risque de déforestation, ou non. « Les fournisseurs doivent mettre en place des dispositifs dans les pays producteurs pour apporter les garanties de non-déforestation manquantes à ce jour », estime l’observatoire.
► 0,83 %, c’est la part des surfaces de soja récoltées au Brésil et en Argentine, sur la campagne 2020-2021, dont la production est consommée par l’ensemble du cheptel français (hors petfood), et qui est potentiellement à risque de déforestation. Cela représente 240 000 ha.
Source : communiqué Duralim