
Les échanges se font au ralenti en Argentine. La conjoncture était déjà compliquée suite à la forte sécheresse subie par le pays ces dernières semaines, et le soja venait à manquer.
Mais la situation s'est aggravée depuis l'élection du nouveau président Javier Milei dimanche dernier et tourne presque à la paralysie.
En effet, les cultivateurs conservent leurs marchandises en attendant les futures décisions concernant l'ajustement du taux de change officiel. Ils craignent une dévaluation du peso dans un pays déjà touché par une inflation record.