
Le Gnis précise que « c'est le résultat de la pleine capacité de la filière semencière française à offrir des variétés toujours plus adaptées, afin d’accompagner les agriculteurs de plus de 150 pays à relever les défis du changement climatique et les nécessaires adaptations de leurs productions végétales ».
Cette progression est notamment portée par les semences de maïs, qui dégagent un excédent record de 502 millions d’euros (+16%), la hausse est aussi notable pour les oléagineux (+12%). Le secteur des potagères et des florales restent le deuxième secteur à l’exportation.
L’Allemagne est le premier partenaire à l’export de semences pour un total de 257 millions d’euros, suivie par l’Espagne, l’Italie et les Pays-Bas. L’activité vers les pays tiers, qui représente 30% des exportations, enregistre une hausse de 10% sur la campagne 2019-2020.
La filière semencière française compte 15 000 emplois salariés et 10 000 agriculteurs multiplicateurs.