Elle est jeune (26 ans), et a clairement des convictions.
Si Julia Naccache a fait des études d'ingénieure en agro-développement international (avec une spécialisation en énergies et aménagement du territoire), à l'Istom, l'école supérieure d'agro-développement international d'Angers, puis complété sa formation à l'université de Stirling (Ecosse), avec un master spécialisé dans le management environnemental (production énergétique, analyse de données et évaluation de l'impact de projets sur l'environnement), c'est dans un seul but. « Je veux apporter ma contribution face aux enjeux énergétiques, climatiques, de sécurité alimentaire et sociaux », affirme-t-elle.
Une sensibilité particulière pour le sort des femmes
Entre un stage au Pérou en permaculture et un autre, en Chine, sur les microalgues, elle a développé une sensibilité pour les défis internationaux liés au développement et à la nécessité de nourrir la planète, mais aussi pour le sort des femmes dans l'agriculture.
Transformer le modèle agricole
Et son poste actuel lui donne l'occasion de travailler pour elles.
En effet, en sa qualité de cheffe de projets développement solaire
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