- les champignons avec Maison Vialade (66) ;
- les endives, avec Prymex (62) ;
- les poires, avec Le Vieux Pointet (84) ;
- les clémentines, avec Agrucorse (20).
Pour les producteurs, ces contrats multipartites, pluriannuels et renouvelables assurent un engagement sur des volumes pendant trois ans. Ils prévoient aussi des modalités de fixation des prix. Pour le distributeur, ils sont un moyen de proposer des produits de qualité, avec une traçabilité garantie.
Si le groupe Carrefour ne nie pas être concerné par les difficultés actuelles du marché bio, son représentant se veut optimiste.
« Nous pensons que la question n’est pas de savoir si le bio va repartir mais quand. Et nous voulons être présent lors du redémarrage », résume Benoît Soury, directeur marché bio du groupe Carrefour.
Le groupe a aussi renouvelé un partenariat en boulangerie-pâtisserie avec la Minoterie Suire, qui représente 192 agriculteurs de l’ouest de la France, et un en boucherie avec Unebio (03).
Irène Aubert