La fraise du Lot-et-Garonne a décroché le label Rouge en 2009. Dix ans plus tard, la filière fraise se porte bien, dynamisée par le label garant de qualité.
Il aura fallu six ans de travail à la filière fraise du Lot-et-Garonne pour décrocher le label Rouge. En 2009, à l’obtention du label, neuf producteurs produisaient de la fraise label Rouge ; dix ans plus tard, ils sont presque 70. Une fierté pour Philippe Blouin, président de la fraise label Rouge. « L’obtention du label a apporté un véritable dynamisme à la fraise du Lot-et-Garonne », a-t-il expliqué le 26 février au Salon de l’agriculture.
Trois variétés sont reconnues : la Gariguette et la Ciflorette qui l'ont obtenu en 2009, ainsi que la Charlotte, labellisée un an plus tard. Toutes doivent répondre à un cahier des charges strict garantissant la qualité : une cueillette à maturité, un taux de sucre optimal ou encore un délai maximal de 36 heures entre la récolte et la commercialisation.
Dans le Lot-et-Garonne, premier département producteur de fraises en France, on compte près de 450 producteurs de fraises. La culture prend de l’essor : 6000 tonnes ont été récoltées en 2006, 15000 en 2018, dont environ 370 certifiées label Rouge.
Cependant, la filière rencontre quelques difficultés pour recruter de la main-d’œuvre, a rappelé le président. « Les fraises sont cueillies à maturité et placées une par une dans des barquettes, cela nécessite beaucoup de main-d’œuvre », a-t-il précisé.
Il aura fallu six ans de travail à la filière fraise du Lot-et-Garonne pour décrocher le label Rouge. En 2009, à l’obtention du label, neuf producteurs produisaient de la fraise label Rouge ; dix ans plus tard, ils sont presque 70. Une fierté pour Philippe Blouin, président de la fraise label Rouge. « L’obtention du label a apporté un véritable dynamisme à la fraise du Lot-et-Garonne », a-t-il expliqué le 26 février au Salon de l’agriculture.
Trois variétés sont reconnues : la Gariguette et la Ciflorette qui l'ont obtenu en 2009, ainsi que la Charlotte, labellisée un an plus tard. Toutes doivent répondre à un cahier des charges strict garantissant la qualité : une cueillette à maturité, un taux de sucre optimal ou encore un délai maximal de 36 heures entre la récolte et la commercialisation.
Dans le Lot-et-Garonne, premier département producteur de fraises en France, on compte près de 450 producteurs de fraises. La culture prend de l’essor : 6000 tonnes ont été récoltées en 2006, 15000 en 2018, dont environ 370 certifiées label Rouge.
Cependant, la filière rencontre quelques difficultés pour recruter de la main-d’œuvre, a rappelé le président. « Les fraises sont cueillies à maturité et placées une par une dans des barquettes, cela nécessite beaucoup de main-d’œuvre », a-t-il précisé.