Le 26 août dernier, le collectif Nouveaux Champs a réagi suite à la parution d’un article de l’UFC-Que Choisir mettant en garde contre les labels « sans pesticides » et indiquant qu’un tiers de ces produits ne seraient pas conformes à leur promesse.
« Cet article (...) est illustré par notre label, parmi d’autres. Cela nous oblige évidemment à réagir. Nous dénonçons l’amalgame et le fait que notre collectif soit associé injustement à cette polémique qui ne nous concerne pas », fait savoir Gilles Bertrandias, président du collectif Nouveaux Champs.
L’article de l’UFC-Que Choisir se base sur les résultats d’analyses réalisées en 2018 par la DGCCRF sur les résidus de pesticides dans les denrées d’origine végétale. D’après ce rapport annuel, sur 94 produits prélevés portant des allégations sur l’absence de pesticides, plus du tiers étaient non conformes avec la présence de résidus de pesticides quantifiables.
Or, comme l’explique le président, cette étude ne détaille pas la nature des prélèvements qui peuvent concerner tous les produits végétaux (fruits, légumes, céréales, thé…) et provenir de France ou d’ailleurs.
Le collectif, qui rassemble aujourd’hui plus de 6000 producteurs, a demandé à l’UFC-Que choisir de supprimer dans son article toute référence visuelle à son label.
« Cet article (...) est illustré par notre label, parmi d’autres. Cela nous oblige évidemment à réagir. Nous dénonçons l’amalgame et le fait que notre collectif soit associé injustement à cette polémique qui ne nous concerne pas », fait savoir Gilles Bertrandias, président du collectif Nouveaux Champs.
L’article de l’UFC-Que Choisir se base sur les résultats d’analyses réalisées en 2018 par la DGCCRF sur les résidus de pesticides dans les denrées d’origine végétale. D’après ce rapport annuel, sur 94 produits prélevés portant des allégations sur l’absence de pesticides, plus du tiers étaient non conformes avec la présence de résidus de pesticides quantifiables.
Or, comme l’explique le président, cette étude ne détaille pas la nature des prélèvements qui peuvent concerner tous les produits végétaux (fruits, légumes, céréales, thé…) et provenir de France ou d’ailleurs.
Plus de 3 millions d’euros par an
Le collectif, qui rassemble aujourd’hui plus de 6000 producteurs, a demandé à l’UFC-Que choisir de supprimer dans son article toute référence visuelle à son label.