Les années se suivent et se ressemblent : cet été encore, le producteurs de Légumes de France ont décidé de mener une opération de relevés de prix dans les enseignes de la grande distribution. Une mobilisation nécessaire selon eux pour démontrer que « les marges des distributeurs sont trop élevées et ne sont pas adaptées à la réalité du marché ».
En tomate et en melon, alors que la météo est propice à la consommation, les prix pratiqués en grande distribution « sont très significativement inférieurs aux coûts de production », déplore Légumes de France. Et cela alors même que « les volumes produits ne sont pas au rendez-vous ».
Pour Légumes de France, il est temps que la distribution pratique « des prix au détail cohérents pour faire repartir le marché », d’autant plus que les producteurs français, de leur côté, « se battent chaque jour pour proposer aux consommateurs des légumes de qualité ».
L’opération menée par Légumes de France visera aussi à vérifier que les légumes d’origine France sont bien mis en avant dans les rayons. Si les conclusions de l’enquête ne s’avèrent pas satisfaisantes, les producteurs « sont décidés à dénoncer les dérives et à épingler les distributeurs concernés ». « La colère monte, et nous veillerons à ce que la situation s’améliore rapidement », préviennent les producteurs.
En tomate et en melon, alors que la météo est propice à la consommation, les prix pratiqués en grande distribution « sont très significativement inférieurs aux coûts de production », déplore Légumes de France. Et cela alors même que « les volumes produits ne sont pas au rendez-vous ».
Pour Légumes de France, il est temps que la distribution pratique « des prix au détail cohérents pour faire repartir le marché », d’autant plus que les producteurs français, de leur côté, « se battent chaque jour pour proposer aux consommateurs des légumes de qualité ».
L’opération menée par Légumes de France visera aussi à vérifier que les légumes d’origine France sont bien mis en avant dans les rayons. Si les conclusions de l’enquête ne s’avèrent pas satisfaisantes, les producteurs « sont décidés à dénoncer les dérives et à épingler les distributeurs concernés ». « La colère monte, et nous veillerons à ce que la situation s’améliore rapidement », préviennent les producteurs.