>>> Cinq ans après l’Île-de-France, la région Provence-Alpes-Côte d’Azur bénéficie de son comité régional Interfel. Quels en sont les particularités et les objectifs ?
Sabine Alary : La première spécificité de ce comité est d’intégrer les importateurs (Chambre syndicale des importateurs français – CSIF). Ici, les coopératives et Sica ne pèsent pas lourd économiquement, mais la filière fonctionne tout aussi bien. Il est important de le rappeler. Et cela grâce aux bonnes relations entre producteurs, grossistes, metteurs en marchés, sans oublier nos Min de Cavaillon, Châteaurenard, Avignon, Marseille et Nice.
Maintenir le dialogue entre les acteurs est fondamental. Ce comité régional est une réelle attente de la profession, qui souhaite aussi être mieux représentée localement auprès des pouvoirs publics et défendre ses intérêts. Nous voulons enfin mieux diffuser l’info issue des travaux d’Interfel et anticiper efficacement d’éventuelles crises de filières, comme cela a pu être le cas par le passé.
Jérôme Androdias : La feuille de route établie par le conseil d’administrationu comité Interfel PACA vise en effet à être le port
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