L’empreinte carbone du vin est estimée entre 1.000 et 1.500 gCO2eq/litre de vin sur l’ensemble du cycle de vie : viticulture, vinification, conditionnement et transport, selon la base de données Agribalyse de l’Ademe.
L'étape de conditionnement se démarque avec une empreinte carbone particulièrement élevée, la bouteille en verre contribuant à environ 40 % de ces impacts. La vinification et la production de raisin représentent respectivement environ 10 % et 23 %, tandis que le transport est estimé à environ 27 %.
Des leviers à activer
Pour réduire son empreinte carbone, l’IFV a listé quelques leviers à activer, en cave, à la vigne, mais aussi à l’échelle de l’ensemble de la filière.
>>> À la cave
Au chai, il s’agit notamment des points suivants :
- économie d’énergie au chai (chai gravitaire, isolation thermique, semi-enterré, etc.) : - 79 gCO2eq/kWh d’électricité économisé1 ;
- augmentation du taux de calcin de 30 % dans les bouteilles en verre : - 15 gCO2eq/l2 ;
- allègement de la bouteille de 75 cl en verre de 100 g : - 60 gCO2eq/l2 ;
- suppression de la capsule de surbouchage : - 27 gCO2eq/l2 ;
- changement du mode
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