Effluents phytosanitaires : nos conseils pour bien choisir son système de traitement

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Le temps à consacrer  au système de gestion  des effluents est un point à étudier, de même que l’entretien nécessaire. Pour le phytobac, par exemple, il faut aérer le substrat, et rajouter  de la paille. Photo : O.Lévêque/Pixel6TM
Pour gérer les effluents phytosanitaires sur l’exploitation, plusieurs solutions sont possibles : gestion à la vigne, par un système de traitement individuel (ou collectif), ou externalisation. Le choix d’un système de gestion des effluents est orienté par plusieurs facteurs comme les volumes générés, la configuration et les pratiques de l’exploitation.La gestion des effluents phytosanitaires peut s’effectuer de différentes façons. « Lorsque le volume d’effluents généré est inférieur à 1 000 litres un dispositif léger, peu coûteux comme le phytobac où l’Ecobang est possible, au-delà de 1 000 litres il faut envisager d’autres solutions, comme plusieurs Heliosec placés en série », explique Guillaume Gilet, gérant de Vitaconsult. Cette société, basée dans les Pays de la Loire, exerce des activités d’expérimentation phytosanitaire et d’accompagnement des exploitations dans la gestion des pollutions ponctuelles et des effluents (diagnostic Aquasite et Effludiag, conseils, gestion des déchets). « Le choix dépend aussi de la capacité d’investissement de l’exploitation et de la place disponible. S’il faut trois Heliosec, cela signifie une succession de 6 m2. Alors qu’un phytobac…
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