Le mode d’emploi des TCO demeure à affiner

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Le lombricompost sert souvent de base pour les TCO. Photo : O.Lévêque/Pixel 6TM
Philippe Lelong a participé à l’expérimentation sur les thés de compost sur ses vignes en minervois. Depuis plusieurs années, Jean-Charles Devilliers les utilise sur ses grandes cultures. Retour sur leurs expériences.Au domaine du Pech d’André à Azillanet (34), Philippe Lelong cultive 28 ha en bio, et préside l’association Chemin cueillant. « Notre attente vis-à-vis du thé de compost oxygéné se situe dans une approche générale de réduction des intrants à la vigne, y compris le soufre et le cuivre, pour recourir à des produits les plus naturels possible. » Suite aux deux années d’essais effectués par l’association, Philippe Lelong va sans doute tester la technique sur une partie de son domaine l’an prochain. Il pense utiliser pour cela la petite plateforme de compostage créée sur son domaine et ayant servi à l’expérimentation.« Pour fabriquer le compost, nous privilégions les approvisionnements locaux, tels que les fauches ou le bois déchiqueté, issus des abords de parcelles, indique le vigneron. Pour les matières organiques, nous pouvons trouver assez facilement de la fiente de poule ou du fumier de mouton dans la région. » L’objectif est double : éviter de transporter les matières…
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