Pratique d’avenir en mal de concurrence

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Si la confusion sexuelle contre les vers de grappe a fait ses preuves, elle peine à se démocratiser, faute d’un prix abordable. Photo : BASF
Lors d’une journée organisée par la chambre d’agriculture du Tarn, Denis Thiéry, scientifique à l’Inra de Bordeaux, est revenu sur les principes de la confusion sexuelle contre les vers de grappe. Une méthode efficace qui peine à se démocratiser dans les vignobles, faute d’un prix abordable.«La confusion sexuelle consiste, grâce à la mise en place de diffuseurs sur le vignoble, à saturer l’atmosphère en phéromones, explique Denis Thiéry, scientifique à l’Inra de Bordeaux. Les mâles sont incapables de localiser les femelles et les accouplements sont moins nombreux. Il en découle moins d’œufs, moins de chenilles et par conséquent moins de dégâts sur les raisins. »Cette méthode présente de nombreux avantages : absence de toxicité pour l’utilisateur, respect de la faune, absence de résidus sur les raisins et respect de l’environnement.Pourtant efficace, la confusion sexuelle ne représente, en 2014, que 5 % de la SAU viticole française.L’une des raisons majeures de cette lente progression tient à son prix.Faire baisser le prix pour démocratiser la pratiqueLes diffuseurs s’emploient à la dose…
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