Réussir sa fertilisation organique

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Les apports de matière organique et de calcaires devront être faits sur un sol bien ressuyé, c’est-à-dire qui s’émiette à la main sans se lisser. Photos : O.Lévêque/Pixel Image
Si une bonne gestion de la fertilisation de la vigne est essentielle, elle n’est pas toujours mise en œuvre. Mieux gérer ses apports de matière organique permet pourtant de renforcer les défenses de la vigne, de réaliser de meilleurs rendements mais aussi d’assurer une meilleure vinification. Les composts jeunes fumiers de bovins et les engrais verts sont à prioriser.Baisse de rendements, faibles vigueurs et sensibilité accrue aux maladies. « Ces observations sont la conséquence de carences en fertilisation, surtout dans des sols travaillés », introduit Anne Duval Chaboussou, conseillère viticulture biologique à la chambre d’agriculture des Pays de la Loire, lors d’une demi-journée consacrée au sujet de la fertilisation organique, au Domaine des Roches Sèches à Faveraye-Mâchelles (Maine-et-Loire), en partenariat entre l’ATV49 et le Sage Layon-Aubance. « Il faut revenir à une fertilisation adaptée, à base d’engrais verts, d’amendements et engrais organiques. »  Depuis 2013, la chambre régionale organise d’ailleurs des essais comparatifs entre engrais verts, fumiers faiblement compostés…
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