
Les années se suivent et ne se ressemblent pas. Si l’année 2020 a défié tous les pronostics à de nombreux égards, la pression maladie a été relativement contenue, grâce aux caprices « heureux » de la météo. Quand bien même, les maladies ne sont jamais complétement aux abonnées absentes. C’est la raison pour laquelle, pour lutter contre la septoriose et les rouilles sur céréales, les agriculteurs veulent des solutions qui soient à la fois préventives et curatives. « En 2020, dans un contexte de pression moyenne, ma stratégie fongicide a consisté à faire un programme préventif à 2 interventions, l’une à 2 nœuds et l’autre à dernière feuille étalée », détaille Joel Sicot, associé en Gaec avec son frère sur une exploitation de 600 ha en Lorraine.
"Protecteur par nature"
Protéger la culture, en proposant une matière active d’origine naturelle, mais aussi protéger l’utilisateur, c’est essentiel. Le packaging d’Inatreq™ active a aussi fait l’objet d’une innovation avec un bidon plus ergonomique et qui réduit le risque de retours et projections. « J’ai pu tester la praticité du bidon, sa conception facilite la vidange et le rinçage. C’est une petite révolution qui sécurise son utilisation », affirme Philippe Delaire, agriculteur dans le département de Meurthe-et-Moselle. A n’en point douter, l’innovation Inatreq™ active, devrait séduire sur le terrain, « avoir une solution d’origine naturelle, c’est un nouveau critère de choix, et j’y suis très sensible », poursuit l’agriculteur. « Cela nous aide à faire passer les bons messages autour de nos pratiques », complète Joël Sicot.
La lutte fongicide doit relever un certain nombre de défis, l’arrivée de nouvelles solutions, comme Inatreq™ active, devraient accompagner les agriculteurs à relever ces défis, qu’ils soient techniques, économiques ou environnementaux.