Potassium : des formes sulfatées préconisées

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Sans potassium, le potentiel de rendement du colza est impacté. Dans les essais, les pertes mesurées sont de 2,5 q/ha. À g., colza conduit sans fertilisation foliaire, à dr. avec 4 l/ha de Final K. À ce stade, difficile de faire visuellement la différence
Le rôle du potassium est de plus en plus exploré dans l’expression du potentiel d’une culture, l’azote n’étant plus considéré comme le seul facteur limitant de la productivité. Les analyses de sol, complétées par des analyses de sève, permettent d’appréhender la teneur des éléments nutritifs et d’apporter à la plante ce dont elle a besoin, au moment le plus opportun.

« Même si une analyse de sol révèle une teneur en potassium correctement pourvue, son assimilation, effectuée par voie passive, dépend des conditions du milieu et notamment du stress hydrique et du tassement du sol », souligne Laurent Pinsson, responsable de l’expérimentation au sein de la coopérative Agora. Pour un coût de 50 euros, une analyse de sève complète parfaitement une analyse de sol. Dans certaines situations, les résultats aboutissent à un apport foliaire de potassium qui permet à la plante de couvrir les besoins essentiels à sa croissance. « Cette forme d’apport en végétation ne remplace en aucun cas la fumure de fonds, qu’elle soit minérale ou organique,prévient Laurent Pinsson. Elle ne corrige pas une carence, qu’il convient de gérer plus en amont, mais contribue à l’entretien de…
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