Semences hybrides : un marché porteur mais concurrentiel

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« Chaque année, Euralis investit 13 % de son CA dans la recherche et le développement, soit 22 millions d’euros », soulignent Denis Gonthier, directeur des opérations (à droite), et Jean-Pierre Dufourcq, directeur business development chez Euralis. © Euralis
Spécialisé dans la production de semences hybrides de maïs, tournesol, colza, soja et sorgho, Euralis Semences poursuit son développement, entre un marché mature sur l’Europe de l’Ouest et celui dynamique de l’Europe de l’Est. Face à une concentration des acteurs sur ce secteur, la différenciation réside notamment dans l’innovation et les services, ainsi que dans la relation partenariale avec la distribution.

 

Innovation, développement international et compétitivité. Voilà certainement les trois maîtres mots définissant la stratégie d’Euralis Semences. « Si le secteur de la semence est porteur de valeur ajoutée, par la recherche, la production et la commercialisation, c’est avant tout dans le but d’amener un bénéfice pour l’agriculteur », introduit Jean-Pierre Dufourcq, directeur Business Development d’Euralis Semences. Chaque année, le groupe investit 13 % de son CA dans la recherche et le développement, soit 22 millions d’euros. Sur les cinq espèces développées par le semencier, seul le soja n’est pas proposé en hybride, contrairement aux maïs et tournesol, fers de lance du semencier, suivi du colza et sorgho. « L’hybridation par l’effet d’hétérosis a largement démontré ses…
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