Dossier • Bokashi : conserver la matière organique, un art japonais

Pratique longtemps réservée aux particuliers pour fermenter les épluchures et autres résidus organiques de cuisine, le bokashi se déploie doucement pour des volumes de matière organique plus importants.

Il est possible de transformer un tas de fumier en bokashi. Toute matière organique, en fait, peut générer un bokashi à condition de respecter quelques règles simples de mise en œuvre. L’objectif étant, en agriculture, de conserver l’intégralité de ce que contient le tas de matière organique de départ pour qu’il soit valoriser au champ. Éviter les pertes durant le stockage, en somme. Au regard du prix actuel des matières fertilisantes, qu’elles soient minérales ou organiques, limiter les pertes facilement évitables est d’autant plus rentable.

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