« Alors que la sécheresse, toujours en cours, a impacté et impacte encore la production fruitière, les arboriculteurs s’inquiètent de l’augmentation du nombre d’accidents climatiques ainsi que de celle de la gravité des conséquences sur nos cultures », indique Françoise Roch, présidente de la FNPF.
Le syndicat des arboriculteurs porte depuis plusieurs années la nécessité d’une réforme de l’assurance récolte articulant dispositifs de prévention, assurance et solidarité nationale.
« Alors que le cadre fixé pour la future réforme répond à nos attentes, tout dépend désormais des paramétriques techniques qui peuvent rendre la réforme efficace ou inopérante en fonction de leur pertinence », poursuit la FNPF, qui considère que cette réforme qui « se doit d’être ambitieuse ou devra être reportée » devra intégrer les principes suivants :
Alors que la souveraineté alimentaire est au cœur de la stratégie du Gouvernement et des attentes des Français, cette réforme ne peut être un échec, insiste la FNPF, terminant : « Il s’agit d’une question de responsabilité.»
Le syndicat des arboriculteurs porte depuis plusieurs années la nécessité d’une réforme de l’assurance récolte articulant dispositifs de prévention, assurance et solidarité nationale.
« Alors que le cadre fixé pour la future réforme répond à nos attentes, tout dépend désormais des paramétriques techniques qui peuvent rendre la réforme efficace ou inopérante en fonction de leur pertinence », poursuit la FNPF, qui considère que cette réforme qui « se doit d’être ambitieuse ou devra être reportée » devra intégrer les principes suivants :
- l’application pleine et entière du règlement Omnibus en ce qu’il prévoit un niveau de subvention de 70% dès 20% de franchise ;
- la garantie d’une équité de traitement entre les filières ;
- une réforme à la hauteur des engagements pris par le président de la République, notamment en termes financiers ;
- une réforme couvrant également les pertes de qualité et tenant compte des dispositifs de prévention mis en œuvre par les producteurs.
Alors que la souveraineté alimentaire est au cœur de la stratégie du Gouvernement et des attentes des Français, cette réforme ne peut être un échec, insiste la FNPF, terminant : « Il s’agit d’une question de responsabilité.»