Publié le : Dernière Mise à jour : 03.10.2016Par : Alix CauchyLecture : 3 min.
À l’initiative des chambres d’agriculture et des viticulteurs bio alsaciens, et de leurs homologues allemands, une étude comparative des coûts de production de part et d’autre du Rhin a été menée durant trois campagnes. Conclusion de ce projet dénommé « BioRhin » : les moyennes à l’hectare sont assez proches, mais ramenées à la bouteille elles sont bien supérieures en France.L’initiative BioRhin a été portée par l’Organisation professionnelle de l’agriculture biologique en Alsace (Opaba), dans le cadre d’un programme de développement agri-viticole transfrontalier (Interreg IV) cofinancé par l’Union européenne.Le territoire concerné par cette étude recoupe, du côté français, les départements du Bas-Rhin et du Haut-Rhin, et du côté allemands la plaine rhénane du Bade Wurtemberg, ainsi que la partie sud de la Rhénanie Palatinat. « L’objectif principal du volet viticulture de BioRhin est l’obtention de références économiques locales en conduite biologique, afin d’apporter des réponses tant aux viticulteurs réfléchissant à une conversion qu’aux producteurs bio souhaitant perfectionner…
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