Trois conseils pour réussir en Corée

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En Corée du Sud, le vin est un phénomène totalement urbain et essentiellement localisé à Séoul, la capitale.  Photo : eyetronic/Fotolia
1. Penser que vos concurrents ne sont pas vos voisins, mais plutôt les vins chiliens. Adapter vos réponses en fonction de votre interlocuteur. Vous-même connaissez parfaitement les nuances entre vos parcelles. Vu de Corée, le message collectif de l’appellation ou de la région est plus important, au moins pour un premier contact.2. Être réactif vis-à-vis des demandes de votre importateur, sinon votre place risque d’être prise par quelqu’un d’autre. Avoir une communication adaptée : photos en haute définition si nécessaire, site Internet au moins en anglais que les sommeliers peuvent consulter pour avoir plus d’information sur le domaine, etc. Ne pas hésiter à donner des références : les notes de dégustation attribuées au vin, les médailles à des concours (ex : meilleur gamay du monde) ou le fait d’être référencé sur une table prestigieuse… « Beaucoup de vignerons mettent l’accent sur la manière dont ils ont produit le vin, ce qui est intéressant, mais il faut aussi penser à donner des conseils orientés vers le consommateur : température de service, accords mets-vins, nombre d’années de garde possible, moment d’apogée…
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