Légumes de France tient son congrès annuel aujourd’hui et demain, les 16 et 17 novembre, à Saint-Pol-de-Léon. Près de 450 congressistes sont attendus. Cette 66e édition a débuté par la visite de la station expérimentale du Caté et est également la dernière pour Jacques Rouchaussé en tant que président de Légumes de France.
Après onze années de présidence et une vie entière au service du syndicalisme, Jacques Rouchaussé tire sa révérence lors du congrès annuel de Légumes de France. Un congrès 2023 bien chargé qui se tient, cette année, à Saint-Pol-de-Léon avec près de 450 participants, un record.
Jacques Rouchaussé se réjouit des progrès que la filière a réalisés ces dernières années. La mise en place concrète du plan de souveraineté, continuité du « Livre Blanc », devrait également faire évoluer la profession dans le bon sens. Sans omettre le travail de recherche qui vise à limiter l’utilisation des produits phytosanitaires et à trouver de nouveaux produits de substitution.
Le congrès Légumes de France se clôturera demain après-midi après la visite de Savéol Nature.
Retrouvez la suite de cet article dans le prochain numéro de Cutlture légumière.
Après onze années de présidence et une vie entière au service du syndicalisme, Jacques Rouchaussé tire sa révérence lors du congrès annuel de Légumes de France. Un congrès 2023 bien chargé qui se tient, cette année, à Saint-Pol-de-Léon avec près de 450 participants, un record.
11 années de présidence et de progrès
« Sous mon impulsion, les maraîchers Légumes de France ne sont plus des concurrents mais ce sont des partenaires », lance Jacques Rouchaussé.L’évolution des mentalités, le dialogue, l’échange, l’entraide, c’est ce que le président retiendra de ces mandats. Un conseil d’administration devrait dévoiler le ou les noms des successeurs. En attendant, Jacques Rouchaussé continue sa mission et il entend bien faire remonter quelques requêtes au Gouvernement à travers le ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, Marc Fesneau, qui sera présent le 17 à Saint-Pol-de-Léon.
« Le recours à la main-d’œuvre occasionnelle est un vrai sujet. Nous avons signé des conventions pour les travailleurs saisonniers, mais pour améliorer la compétitivité des exploitations, il faut aussi être plus performant avec les salariés permanents. Nous allons demander au ministre d’avoir le même allègement sur nos permanents que nos occasionnels », précise-t-il.Il en profitera également pour demander la remise en place du coefficient multiplicateur, car le processus est trop long. Réactivité et juste rémunération au producteur, voilà les maîtres mots.
Jacques Rouchaussé se réjouit des progrès que la filière a réalisés ces dernières années. La mise en place concrète du plan de souveraineté, continuité du « Livre Blanc », devrait également faire évoluer la profession dans le bon sens. Sans omettre le travail de recherche qui vise à limiter l’utilisation des produits phytosanitaires et à trouver de nouveaux produits de substitution.
Deux tables rondes
Cette année, Légumes de France a choisi deux thèmes sensibles pour la pérennité des exploitations. Une première table ronde « Transmission et installation, comment les encourager » soulève la question du renouvellement des générations, ce jeudi, la seconde demain mettra l'eau en avant « L'eau, un bien commun à préserver ».Le congrès Légumes de France se clôturera demain après-midi après la visite de Savéol Nature.
Retrouvez la suite de cet article dans le prochain numéro de Cutlture légumière.