Le groupe coopératif Eureden a annoncé son chiffre d’affaires pour 2021-2022 lors d’une conférence de presse tenue à Paris le 4 juillet. Le président et le directeur général ont également abordé les derniers investissements du groupe coopératif et son développement à l’étranger.
Une semaine après son assemblée générale, qui n’avait pas eu lieu en décembre 2022 à cause d’une cyberattaque, le groupe coopératif Eureden a présenté à la presse le 4 juillet ses chiffres clés. C’était aussi l’occasion pour ses dirigeants d’aborder les investissements et la stratégie de croissance externe du groupe coopératif.
Ainsi, le directeur général Alain Perrin a évoqué un chiffre d’affaires pour l’exercice 2021-2022 de 3,3 milliards d’euros dont 40 % proviennent de l’activité agricole. Avec 1 500 producteurs adhérents, la branche légumes transformés représente la deuxième activité du groupe coopératif : en appertisés et surgelés ils comptent pour 33 % du chiffre d’affaires.
La partie légumes appertisés, sous la branche Eureden Long Life, représente 27 % du CA, tandis que les légumes surgelés, Eureden Frozen Food, 6 % du CA.
Ainsi, en 2021-2022, Eureden a entre autres investi dans une nouvelle ligne de production de barquettes destinées à la nutrition infantile, sur son site à Peny Saint-Thurien dans le Finistère. Ces préparations seront commercialisées pour une « grande marque nationale », dont le nom reste confidentiel.
Le groupe coopératif développe également sa croissance externe avec quatre usines de légumes implantées en Europe : trois en Espagne et une en Hongrie.
De plus, ce rayonnement international apporterait aux entreprises étrangères « des synergies en matière de marketing, de commerce, d’innovation et de maîtrise des process industriels » d’après le directeur général d’Eureden.
Les usines étrangères distribuent les produits sous des marques régionales locales, selon Alain Perrin.
À lire aussi : Légumes en conserve et surgelés : une filière menacée qui se mobilise
Une semaine après son assemblée générale, qui n’avait pas eu lieu en décembre 2022 à cause d’une cyberattaque, le groupe coopératif Eureden a présenté à la presse le 4 juillet ses chiffres clés. C’était aussi l’occasion pour ses dirigeants d’aborder les investissements et la stratégie de croissance externe du groupe coopératif.
Ainsi, le directeur général Alain Perrin a évoqué un chiffre d’affaires pour l’exercice 2021-2022 de 3,3 milliards d’euros dont 40 % proviennent de l’activité agricole. Avec 1 500 producteurs adhérents, la branche légumes transformés représente la deuxième activité du groupe coopératif : en appertisés et surgelés ils comptent pour 33 % du chiffre d’affaires.
La partie légumes appertisés, sous la branche Eureden Long Life, représente 27 % du CA, tandis que les légumes surgelés, Eureden Frozen Food, 6 % du CA.
Une nouvelle ligne de production dans le Finistère
Eureden « investit chaque année entre 70 et 75 millions d’euros, chiffre Alain Perrin. Nos investissements sont tournés vers les mises aux normes, la sécurité du personnel et des projets de développement ».Ainsi, en 2021-2022, Eureden a entre autres investi dans une nouvelle ligne de production de barquettes destinées à la nutrition infantile, sur son site à Peny Saint-Thurien dans le Finistère. Ces préparations seront commercialisées pour une « grande marque nationale », dont le nom reste confidentiel.
Le groupe coopératif développe également sa croissance externe avec quatre usines de légumes implantées en Europe : trois en Espagne et une en Hongrie.
Produire l'ensemble des gammes de l'appertisé et du surgelé
« Si on ne transformait que nos produits issus de Bretagne, notre capacité à négocier avec les clients serait plus limitée, affirme Alain Perrin. Nous sommes donc capables de produire l’ensemble des gammes de l’appertisé et du surgelé pour la GMS. »De plus, ce rayonnement international apporterait aux entreprises étrangères « des synergies en matière de marketing, de commerce, d’innovation et de maîtrise des process industriels » d’après le directeur général d’Eureden.
Les usines étrangères distribuent les produits sous des marques régionales locales, selon Alain Perrin.
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