Le rapport de l’Agreste concernant la production d’abricot montre une situation similaire à l’an passé. Le volume national des récoltes pourrait atteindre les 130 000 t. Là encore, si les conditions climatiques restent correctes. Une hausse de 1 % est toutefois envisagée.
Ces chiffres représentent une amélioration de 26 %, comparée à la moyenne des cinq dernières années. Mais la période 2020-2021 fausse les calculs, suite à deux mauvaises saisons.
Dans les faits, ce total serait dans la moyenne de ceux obtenus en 2018 et 2019.
Globalement, peu d’évolution concernant les surfaces de production. Idem pour le volume des récoltes. Mais on observe de fortes disparités régionales. Ainsi, l’Occitanie connaît une baisse de 9 % par rapport à l’an passé. Dans le même temps, c’est l’exact opposé pour l’Auvergne-Rhône-Alpes.
Dans le même temps, le prix de vente moyen baissait de 8 %. Mais restait plus élevé de 20 % à la moyenne de la période 2017-2021, confirmant cette bonne dynamique.
Des chiffres convaincants malgré un contexte difficile subi par les exploitants. La sécheresse, importante, a impacté le développements des abricots sur une majeure partie du pays, avec pour conséquence, des calibres plus petits proposés sur les marchés.
Comme pour la cerise, les volumes d’importations et d’exportations sont en baisse. Mais attendons la fin de la saison, car il faudra peut-être venir au secours de nos voisins italiens. Le principal producteur européen, fortement touché par les gelées de printemps, connaît une saison en net recul. Les premières estimations évoquent une situation qui pourrait entraîner une baisse totale de la production de 7 % sur le vieux continent.
Ces chiffres représentent une amélioration de 26 %, comparée à la moyenne des cinq dernières années. Mais la période 2020-2021 fausse les calculs, suite à deux mauvaises saisons.
Dans les faits, ce total serait dans la moyenne de ceux obtenus en 2018 et 2019.
Globalement, peu d’évolution concernant les surfaces de production. Idem pour le volume des récoltes. Mais on observe de fortes disparités régionales. Ainsi, l’Occitanie connaît une baisse de 9 % par rapport à l’an passé. Dans le même temps, c’est l’exact opposé pour l’Auvergne-Rhône-Alpes.
Forte hausse du chiffre d’affaires en 2022
La saison passée fut marquée par une augmentation conséquente du CA à la production. +50 % par rapport à la moyenne 2017-2021. Un point très positif après plusieurs années marquées par un déficit. Certaines régions ont atteint des niveaux records. La Vallée du Rhône réalise une progression de 250 %.Dans le même temps, le prix de vente moyen baissait de 8 %. Mais restait plus élevé de 20 % à la moyenne de la période 2017-2021, confirmant cette bonne dynamique.
Des chiffres convaincants malgré un contexte difficile subi par les exploitants. La sécheresse, importante, a impacté le développements des abricots sur une majeure partie du pays, avec pour conséquence, des calibres plus petits proposés sur les marchés.
Comme pour la cerise, les volumes d’importations et d’exportations sont en baisse. Mais attendons la fin de la saison, car il faudra peut-être venir au secours de nos voisins italiens. Le principal producteur européen, fortement touché par les gelées de printemps, connaît une saison en net recul. Les premières estimations évoquent une situation qui pourrait entraîner une baisse totale de la production de 7 % sur le vieux continent.