Les deux places financières finissaient en sens contraire. À Paris, les marchés ont terminé en retrait, peut-être faut-il juste considérer qu’ils reprennent leur souffle. À Chicago, la musique était légèrement différente. En soja, les marchés reculaient faute de ventes significatives. En revanche blé et maïs poursuivaient leur hausse. La perspective d’une baisse des surfaces de maïs le printemps prochain à cause de la hausse des prix des intrants fait son chemin.
Marchés agricoles