« Depuis le début des années 2000 [période de conversion de la ferme à l’agriculture biologique (AB), NDLR], nous sommes aux premières loges pour observer l’évolution de l’agriculture biologique en France et les effets du changement climatique sur nos modes de production, note Jean-François Cortot, l’un des quatre associés de la SCEA des Tours, dont le siège se situe à Asnières-en-Montagne (Côte-d’Or). Si l’évolution de l’AB influence notamment les opportunités de marché, et donc les cultures sur l’exploitation, le changement climatique impacte deux pans techniques de la ferme : la salissement tardif des parcelles à l’automne, en graminées notamment, et la gestion de la fin de cycle des cultures en raison des sécheresses et des canicules précoces à répétition. »
La canopée comme protection contre les coups de chaud
C’est en partie pour cette seconde raison d’ailleurs que les associés de la SCEA des Tours se sont laissés séduire par l’offre agrivoltaïque de TSE. Au-delà de la production d’énergie qui peut assurer un revenu complémentaire, « la canopée agrivoltaïque, telle qu’elle est proposée par TSE, est sans doute l
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