Après fertilisation localisée du couvert, déplafonnement du rendement de l’orge de printemps

Le GIEE Sol Union, en Haute-Marne, a testé la fertilisation localisée des couverts végétaux au moment du semis et son effet sur la culture suivante.

ORGE - COUVERT VÉGÉTAL - FERTILISATION

L'orge de printemps a profité pleinement de la fertilisation localisée du couvert végétal précédent.

© Pixel6TM

Plusieurs espèces de couverts ont été semées au sein d’un dispositif expérimental dans lequel chaque couvert comptait à la fois une modalité sans engrais localisé au semis des couverts et une autre avec 80 kg/ha de 18/46 et 20 kg/ha d’Epsotop. Soit, par hectare, 15 kg de N, 39 kg de P2O5, 6 kg de SO3 et 3 kg de MgO.

De l’aveu d’Antonio Pereira, de la chambre d’agriculture de Haute-Marne, « l’Epsotop a été ajouté principalement pour son effet hygroscopique... afin de capter le peu d’humidité présent dans le sol en été ».

Un effet indéniable sur le rendement de l'orge de printemps qui suit

Au-delà de la biomasse produite par les couverts végétaux, le GIEE Sol Union s’est intéressé à l’impact de ce couvert sur le rendement de l’orge de printemps qui suit. Là encore, selon deux modalités, l’une avec la dose d’azote prescrite habituellement pour la culture et l’autre sans aucun apport d’azote sur la culture.…

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